domingo, 8 de agosto de 2010

Ruines d'Olympie



Olympie. L'aube. Déjà
le printemps.
Lente, la lumière du jour oint son corps

d'une huile très tiède,
comme une jeune déesse
éprise d'un athlète mortel.

Ce peu de choses que je vois:
un olivier, la rosée sur le marbre
et l'aspect humain de la terre
c'est la vie.


Traduction: Jean Dif